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La société civile de l'Association

Anne-Laure et Claude
les Mariés de l'An II

Dans les armées Napoléoniennes, il existe quatre catégories de femmes :

  • Celles qui sont là de manière officielle, les blanchisseuses, les vivandières et les cantinières

  • Les femmes combattantes, qui se cache sous un nom d’emprunt masculin tel que Maria Schellinck, lieutenant d’infanterie ou encore Thérèse Figueur, dragon.

  • Les prostituées

  • Les dames de la bourgeoisie lors des étapes en ville de garnissons tel que lors du camp de Boulogne, l’exemple des jeunes femmes de la bourgeoisie boulonnaise qui visitent les camps ainsi que les jardins fleuris des officiers et parfois leurs baraques transformées en garçonnières, ce qui a dû provoquer des scènes de ménage ou des discussions envenimées entre pères et filles, puisque le général AUDREOSSY, chef d’état-major du camp de Saint-Omer, va interdire cette pratique.

  • Les épouses d’officiers d’ailleurs l’Empereur, lui-même souhaite la présence des femmes de ses généraux car il s’était aperçu qu’ils avaient un comportement plus mondain.

        Marie France                   Dame de compagnie

Lolita la viandière

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